Beaucoup de gens pensent que le terme nâfila désigne exclusivement les prières surérogatoires, or la vérité est que tout acte cultuel possède sa propre nâfila. Ainsi les dépenses sur la Voie de Dieu comprennent la zakat (l’impôt social purificateur) qui est l’un des cinq piliers de l’islam, mais également toutes les autres dépenses que l’on fait pour plaire à Dieu. Cette remarque est valable...

Ces péchés ont été appelés al-mûbiqât, c’est-à-dire al-muhlikât, car ils causent la perte de celui les commet et le conduisent en Enfer, que Dieu nous en préserve ! Le présent livre expose les définitions données par les érudits des différentes catégories de péchés, leurs divergences à ce sujet ; il présente ensuite les sept péchés dits mûbiqât, les explique et met en relief leur champ...

La méditation compte parmi les pratiques spirituelles qui rapprochent le plus l’homme de Dieu. La Tradition rapporte que ‘‘Méditer une heure est préférable à une année d’adoration’’. Al-Ghazâlî met en exergue dans ce livre une forme de méditation intellectuelle profonde sur les subtilités de la création de Dieu. Il révèle sa nature, mais aussi ses fruits et ses méthodes.

L’amour spirituel est une forme de sacrifice : il consiste à l’abandon volontaire de son amour pour les choses au profit de l’amour de Dieu l’Unique. Des étapes purificatrices sont nécessaires pour atteindre ce but. Elles passent notamment par l’expérience spirituelle du renoncement « à la douceur de tout amour autre que l’amour de Dieu ».

Nombre de gens pensent que croire au décret divin revient à dire que Dieu fait de nous ce qu’Il veut et que l’homme n’a aucune volonté propre. Or cela est faux. Dieu n’a pas voulu contraindre les hommes à suivre le chemin de la foi, même s’il en avait le pouvoir. Mais Il a voulu qu’ils exercent leur liberté en acceptant ou en refusant d’emprunter ce chemin, à charge pour eux d’en subir...

Le présent ouvrage présente, en les compilant et en les simplifiant, les avis juridiques afférents à la zakât, formulés par les savants de l’Islam, tant anciens que modernes. Attendu la divergence de ces avis juridiques, nous avons basé nos choix sur les principes suivants : -Retenir en priorité les Fatwâs collectives édictées par les différents conseils de Fatwâs. – Opter pour les Fatwâs...

Les textes contenus dans ce livre sont des réflexions et rappels spirituels ayant pour objectif de proposer au fidèle musulman une lecture cohérente de l’islam, apaisée, contextualisée et imprégnée de spiritualité, de lui donner des repères pour mieux vivre sa foi sans complexe ni crispation, d’aider le musulman à prendre conscience de ses responsabilités afin de mieux être et mieux servir...

L’istikhâra n’est aucunement un moyen de connaître l’insondable, mais une manière d’appeler le bien et de l’avoir en suppliant le Connaisseur de l’insondable. Celui qui s’en acquitte le fait en croyant qu’elle est une voie menant au bien. L’homme ignore ce que recèle l’insondable et ce qui pourrait advenir de lui en décidant de faire telle ou telle chose. C’est pourquoi demande-t-il à Dieu...

Ce livre décrit les différentes étapes par lesquelles passe le défunt depuis son agonie jusqu’à l’arrivée du jour dernier et du jugement. Ces vérités sont à même de porter l’homme à se réformer pour préparer son voyage vers l’au-delà, demeure où il résidera pour l’éternité.

L’islam ne peut être compris que si l’on connaît la foi qu’il apporte. L’islam répond aux questions fondamentales que se pose l’homme : celle des origines et celle des finalités de la vie et de l’homme notamment.

La raison qui m’a poussé à écrire cet ouvrage sur la foi est qu’il existe peu d’études consacrées à cette partie des sciences religieuses qui présentent cette matière sous une forme qui réponde aux attentes des Musulmans d’aujourd’hui... .

Ce livre détaille les piliers de la foi musulmane ainsi que toutes ses spécificités. Il traite de même de questions aussi importantes que les péchés majeurs, les aspects de l’impiété et ce qui y conduit. Le croyant pourra ainsi pratiquer sa religion et vivre sa foi avec discernement et se préserver de ce qui pourrait les entacher.

Le Prophète Ibrahim- pais sur lui- désirait ardemment avoir un enfant ; un jour il fit ce vœu : « Ô Seigneur, si j’ai un enfant mâle, je te le sacrifierai ». Dieu exauça Ibrahim ; quelques années plus tard, Dieu rappela Ibrahim à son vœu. Ibrahim s’adressa alors à son fils, Ismail, en ces termes : « Ô mon petit, je me vois en songe entrain de t’immoler, vois donc quelle est ton opinion »...